Aujourd'hui, mon nombril est pour vous une pâture passagère abandonnée sur la gigantesque soie arachnide de vos cerveaux endoloris. Un pas de plus vers l'absurde, et je risque de sombrer pour toujours dans l'abîme sulfureuse de vos attentes lubriques ! Quiconque me croirait déjà mort si j'affirmais insidieusement entre les lignes bordéliques de ma crasseuse sodomie poétique que Dieu est venu en personne me raconter des blagues à propos du Pape. Après tout, je pourrais bien vous tromper en lumière, acceptant en conséquence toutes critiques à mon égard. Vous pourriez me traîner dans vos braises encore pétillantes de jalousie ou encore me lyncher dans mes vêtements d'imposteur universel, vous ne seriez en définitive qu'un pâle brasier humide de pisse puant la colère bien-pensante et le fric dégueulasse. Votre révolte n'a aucune allure ; elle n'est pas plus vaillante qu'une bite octogénaire sous viagra contrefait ! Aussi, sachez que jamais mon cul n'a été si serré !... Le plaisir se fera donc attendre…